Dans un sondage diffusé par l’Institut Datafolha a révélé que la plupart des Brésiliens est opposé à l’avotement. Selon les résultats, 58% de la population est contraire à l’avortement même dans les cas où les femmes enceintes infectées par le virus Zika.
L’Institut Datafolha a révélé que seulement 32% des sondés a considéré que la femme infectée par Zika devrait se faire avorter. 10% des Brésiliens ne se prononcent pas.
Ce qui est intéressant de ce sondage, c’est qu’il montre qu’au cas où un enfant naîtrait avec une déformation du cerveau, c’est-à-dire, avec une microphalie, 51% des sondés ont déclaré catégoriquement leur opposition à l’avortement.
Le premier cas d’infection par le virus Zika a été enregistré au mois de mai 2015, au Brésil. Très rapidement le virus s’est propagé en Amérique du Sud, Amérique Central jusqu’au Mexique et ausud des Etats-Unis.
Le 05 février 2016, le Bureau des Droits de l’Homme de l’ONU, par le biais de Zeid Ra’ad Al Hussein a publié un communiqué dans lequel il exigeait aux pays atteint par l’épidémie du virus Zika, d’offrir aux femmes « les services de santé sexuelle et réproductive, ainsi que le service d’avortement sans risques ».
Fort heureusement, quelques pays d’Amérique Latine interdissent l’avortement et protègent la vie des enfants à naître et ont pu rejeter l’absurde exigence de l’ONU, qui s’acharne violemment contre ces pauvres bébés sans défense.
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