ND Ch. H. On rappellera que cette 'femme' n'avait jamais défendu le Tessin face à l'afflux et aux criminels étrangers que subissait ce canton.
Non, non et non. Pas question de mobiliser pour l’instant l’armée aux frontières pour faire face à un éventuel flux de requérants d’asile comme en connaissent la Hongrie, l’Autriche ou la Croatie. La présidente de la Confédération Simonetta Sommaruga s’en est expliquée ce lundi devant le Conseil national. Selon elle, il n’y a pas péril en la demeure. «Ni l’ordre public ni la sécurité intérieure ne sont sérieusement menacés», a-t-elle lâché.
Plusieurs conseillers nationaux UDC ont bombardé le Conseil fédéral de questions. Ernst Schibli (ZH) constate que l’Allemagne et l’Autriche ont déjà pris des mesures d’urgence. «Le Conseil fédéral est-il lui aussi disposé à prendre des mesures (contrôles aux frontières, soutien de l’armée au Corps des gardes-frontière) pour s’assurer que la Suisse n’enverra pas aux régions en crise des signaux qui leur feront nourrir de faux espoirs?» demande-t-il. Son collègue Lorenzo Quadri (TI) suggère même que la Suisse imite ses voisins germanophones et «ferme ses frontières»
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